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SEF nie la nomination de l’ancien directeur, mais confirme qu’il intègre le groupe de travail

« Contrairement à ce qui a été évoqué, l’Inspecteur Coordonnateur Supérieur Cristina Gatões n’a été embauchée ni nommée à aucun poste », a précisé aujourd’hui le Service des Etrangers et des Frontières (SEF), dans un communiqué réagissant à l’actualité des fonctions de l’ancien directeur que un service.

L’édition d’aujourd’hui de Diário de Notícias a rapporté que l’ancien directeur du SEF avait été nommé pour aider à la restructuration du régime des visas Gold, citant une dépêche interne de l’organe selon laquelle la nomination vise à «analyser les solutions qui garantissent une plus grande efficacité dans le cadre de résidence au Portugal pour les détenteurs d’une activité d’investissement ».

Dans la déclaration, SEF précise que l’inspecteur coordonnateur « est un membre du personnel » et que, par décision du directeur national, le lieutenant-général Luis Botelho Miguel, « fait partie d’un groupe de travail interne qui analyse et propose des mesures sous le régime de résidence permis d’activité d’investissement ».

Le groupe, selon SEF, est coordonné par la Technique Supérieure Carla Costa.

Le SEF déclare qu ‘ »cela ne correspond pas non plus à la vérité que la coordinatrice de l’inspecteur supérieur Cristina Gatões conseille la direction nationale dans le cadre de la restructuration du service des étrangers et des frontières ».

La nomination présumée de l’ancienne directrice du Service des étrangers et des frontières (SEF), Cristina Gatões, pour aider à la restructuration du régime des visas d’or, a conduit le Bloc de gauche aujourd’hui à poursuivre deux initiatives: une question adressée au gouvernement et à la demande d’audition du ministre de l’Administration interne, Eduardo Cabrita.

BE déclare, dans le texte de la demande, que «la démission de Cristina Gatões est intervenue neuf mois après le meurtre d’un citoyen ukrainien, Ihor Homeniuk, dans les locaux du SEF sous la garde de l’État portugais», rappelant que, précisément lors d’une audition parlementaire, Eduardo Cabrita a justifié ce licenciement en considérant que le responsable «n’avait pas les conditions pour diriger le SEF dans le cadre de la profonde restructuration qui va être développée dans cette organisation».

Chega a également interrogé le ministre de l’Intérieur sur la nomination présumée de l’ancien directeur du SEF, qui a démissionné en décembre 2020 à la suite de la polémique sur le meurtre d’Ihor Homeniuk en mars de la même année.

L’agence Lusa a interrogé le ministère de l’Administration interne, mais n’a pas encore obtenu d’éclaircissements.

DA / (JF / HPG) // JMR

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