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ROBINET. João Galamba et Frederico Pinheiro convoqués à la commission d’enquête

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18h05 « Quiconque est gestionnaire public doit connaître le statut de gestionnaire public » (Lusa)

« Quiconque est gestionnaire public doit connaître le statut de gestionnaire public », a répondu la directrice générale du Trésor et des Finances (DGTF), Maria João Araújo, à l’insistance du député de Chega Filipe Melo, dans la commission d’enquête. pour TAPER.

Auparavant, la députée Vera Brás, du PS, avait déjà interrogé la responsable sur la portée dudit statut pour les gestionnaires de la TAP, Maria João Araújo ayant répondu que, étant des gestionnaires publics, « ils devraient savoir ».

La commission d’enquête parlementaire a été constituée suite à l’annonce de l’indemnisation de 500.000 euros à Alexandra Reis, pour quitter la TAP de manière anticipée, et qui a été négociée sous le code des sociétés commerciales, et non le statut du gestionnaire public.

En vertu de cette loi, une indemnité ne peut être versée qu’aux administrateurs qui sont en fonction depuis au moins 12 mois, ce qui n’est pas le cas.

Maria João Araújo a également été interrogée sur la communication de la TAP à la Commission du marché des valeurs mobilières (CMVM), faisant état d’une renonciation d’un commun accord entre la compagnie aérienne et Alexandra Reis, qui a conduit la CMVM à intenter une action en justice contre la compagnie aérienne, dont l’initiative de résiliation est venu.

« Il n’y avait et il n’y a aucune raison pour que la DGTF doute à aucun moment de ce qui est communiqué au marché, il y a beaucoup de gestionnaires publics qui démissionnent, donc il n’y avait aucune raison de le faire », a-t-il répondu.

17h14 Il a fini d’auditionner Maria João Araújo

16h50 La DGTF dit que c’est à l’entreprise de calculer le montant à retourner par Alexandra Reis (Lusa)

La Direction générale du Trésor et des Finances (DGTF) précise aujourd’hui qu’il appartient à la TAP de calculer le montant de l’indemnité à restituer par l’ancienne administratrice Alexandra Reis et qu’elle a déjà transmis cette information à l’entreprise.

« Nous avons déjà répondu à la TAP que c’est à la compagnie de faire ce calcul », a déclaré la directrice générale du Trésor et des Finances, Maria João Araújo, qui est entendue dans la commission d’enquête parlementaire sur la compagnie aérienne.

Le responsable répondait aux questions de la députée du blocus Mariana Mortágua, à la suite des déclarations de l’ancien président du conseil d’administration, Manuel Beja, qui, lors de son audition à la commission d’enquête, alors qu’il était encore en fonction, a déclaré que TAP attendait les instructions de la DGTF sur le montant à restituer par Alexandra Reis.

Alexandra Reis avait déclaré à la commission d’enquête qu’elle n’avait restitué l’indemnité qu’à ce moment-là, car elle attendait une indication de la valeur par la TAP.

16h30 Le directeur général du Trésor et des Finances ne sait pas si le processus d’Alexandra Reis est conclu

Interrogée sur le retour de l’indemnisation de l’argent d’Alexandra Reis si le processus est conclu, Maria João Araújo a répondu qu’elle a « du mal à dire s’il est conclu ou non ». « La part de l’indemnité est conclue. Qu’il y ait ou non des conséquences juridiques, c’est une autre histoire », a-t-il déclaré.

15h58 Approuvé l’audition immédiate de João Galamba (Lusa)

La commission d’enquête parlementaire sur la TAP a approuvé aujourd’hui la proposition d’IL pour « l’audition immédiate » du ministre João Galamba, après avoir également décidé d’entendre le député exonéré, Frederico Pinheiro, et le chef de cabinet du chef des Infrastructures.

15h52 La DGTF s’est limitée à signer la décision transmise par les Finances

Maria João Araújo commence par préciser que la décision signée par la direction générale du Trésor et des finances (DGTF) « a été mandatée ».

C’est-à-dire, dit-il, « la DGTF a été mandatée pour signer une décision qui n’a pas été préparée par la DGTF ».

Paulo Moniz (PSD) demande si elle-même « a signé sur la croix ce qu’on lui a dit de signer? » auquel la responsable souligne qu’elle était juste « mandatée ».

« La DGTF a été mandatée pour signer et, en tant que service intégré, opérationnaliser les décisions prises par le Gouvernement », ajoute-t-il, précisant que « la communication a été reçue du cabinet du ministre des Finances ».

Le PSD demande que la responsable lise ou dise en quoi consistent les délibérations, ce qu’elle dit ne pas avoir la capacité de faire. Et il demande : « N’est-ce pas un document classifié, pour que je sois ici en train de le lire ?

La délibération de la DGTF a été l’un des piliers de la décision de limoger l’ancien PDG et président de la TAP.

15h44 Les auditions vont commencer

Plus de 40 minutes plus tard que prévu, la commission d’enquête parlementaire reçoit Maria João Araújo, directrice générale du Trésor et des finances (DGTF), et José Gato, directeur des services du Bureau d’appui et de coordination du secteur des entreprises de l’État (GACSEE) .

15h38 L’audition de Frederico Pinheiro approuvée

Les auditions de Frederico Pinheiro et Eugénia Cabaço ont été approuvées à l’unanimité.

15h22 BE demande l’accès à la documentation sur l’ordinateur saisi

Mariana Mortágua, du Bloco de Esquerda, explique la demande soumise au ministère de l’Infrastructure pour accéder à l’ordinateur de Frederico Pinheiro.

« Un ordinateur avec des documents était souvent mentionné dans les actualités… L’application n’a qu’un objectif : voir s’il y a de la documentation sur cet ordinateur à laquelle le CPI n’a pas eu accès », dit-il, soulignant qu’il ne veut accéder qu’à « l’information cela a à voir avec TAP ».

Bruno Aragão, du PS, se demande s’il existe même un moyen légal d’accéder à l’ordinateur une fois qu’il sera saisi. Filipe Melo (CH) rappelle au socialiste qu’il n’appartient pas aux députés CPI de décider de l’opérationnalisation des demandes, mais d’approuver ou de rejeter les demandes.

La demande a été approuvée à l’unanimité.

PJ prêt à analyser l’ordinateur de l’ancien député de João Galamba

15h08 Le PSD accuse le gouvernement d’avoir caché plus d’une centaine de courriels

Toujours à la demande de l’IL, Paulo Moniz renforce son indignation face aux communications manquantes et accuse le PS et le gouvernement de poursuivre des « manœuvres » qui ne sont, selon lui, pas recevables en commission d’enquête. Cela oblige Seguro Sanches à prendre position.

Filipe Melo, de Chega, rappelle que le président de la République n’a aucune autorité politique sur la TAP. « Évidemment non », insiste-t-il. Et que, « à partir du moment où le président est mentionné par le secrétaire d’Etat comme le plus grand allié de la TAP, il faut comprendre pourquoi ». Il dit que la séparation des pouvoirs est en jeu.

En cause, l’échange de mails entre une agence de voyages et la Présidence, dénoncé en commission d’enquête pour les messages entre Hugo Santos Mendes et Christine Ourmières-Widener.

PS indique qu’il rendra possible la demande de documents si la commission le souhaite.

14h58 Quelques désaccords sur l’évolution de l’IPC

Le député PSD, Paulo Moniz, réagit aux commentaires du groupe parlementaire PS (GP-PS) à la candidature présentée par Bernardo Blanco de l’Initiative libérale.

« Le gouvernement a considéré (…) la pertinence et l’importance des exigences de la commission d’enquête parlementaire (CPI). Nous assistons aujourd’hui à une nouvelle phase : le PS, devant un document, qui étaient clairement des sujets abordés dans l’audition du PDG et qui sont liés à la portée politique de cette commission… Tisse sa réflexion et commence à donner le signal qu’il veut pour limiter la portée de cette enquête », dit-il, accusant le GP-PS d' »entraver » les travaux de l’enquête en cours.

« Cela n’augure rien de bon pour le travail du CPI », prévient-il.

Bruno Aragão, du PS, dit que c’est un gâchis. « Le PS fait ce dont il est responsable – c’est le PS qui a approuvé la demande de documentation demandée au gouvernement. Faites avec le gouvernement ce qui a été fait avec toutes les autres entités. Nous avons demandé des documents et le gouvernement a répondu comme il l’avait compris. Mais rappelez-vous (…) l’objet de cet IPC est, en particulier, cette période, non limitée à cette période. C’est pourquoi il y a une série d’auditions approuvées par tous, au-delà de cette période ».

Aragão demande que l’objet du CPI approuvé en plénière ne soit pas évité.

14h46 La STJ dément une enquête sur le secret professionnel

Le président de la commission d’enquête, Jorge Seguro Sanches, commence par informer que les deux demandes adressées à la Cour suprême de justice (STJ) concernant la levée du secret professionnel ont été rejetées. Au moins une de ces demandes concerne le président de la CMVM.

Par ailleurs, trois auditions sont confirmées pour la semaine prochaine : le mardi 9 mai, l’homme d’affaires Humberto Pedrosa sera entendu. Mercredi et jeudi, il est temps d’écouter respectivement Ramiro Sequeira et Diogo Lacerda Machado – deux noms de poids lourds des anciennes administrations et équipes de direction de TAP.

« Nous allons continuer avec un rythme d’auditions très accéléré, justement pour pouvoir atteindre nos objectifs. C’est quelque chose que le pays attend de nous : que nous parvenions à terminer les travaux », déclare Seguro Sanches.

14h33 La DGTF entendue cet après-midi

Bon après-midi. Nous suivrons l’audition de Maria João Araújo, directrice générale du Trésor et des finances (DGTF), et de José Gato, directeur des services du Bureau d’appui et de coordination du secteur des entreprises de l’État (GACSEE) au sein de la commission d’enquête parlementaire dans TAP.

Ce matin, c’était au tour des députés d’entendre l’Union des économistes.

La séance de cet après-midi commence à 14h30 avec quelques points à l’ordre du jour, à savoir l’approbation des nouvelles demandes de documentation et l’appréciation des nouvelles auditions.

Vous pouvez également suivre la diffusion en direct sur AR TV ici.

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