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Le Parlement approuve l'autonomisation du crime de tuer un animal de compagnie

Le texte de remplacement a été voté aujourd'hui en tant que vote final général, spécialisé et mondial, et était basé sur les projets de loi PSD, PAN et PS.

Ce texte promeut des amendements au code pénal, au code de procédure pénale et à la loi sur la protection des animaux et a été approuvé à l'unanimité.

Avec cet amendement, il est établi que «quiconque, sans raison légitime, tue un animal de compagnie est puni d’une peine de prison de six mois à deux ans ou d’une amende de 60 à 240 jours, autre disposition légale ».

"Si la mort survient dans des circonstances révélant une censure particulière ou une perversité", la limite maximale de la peine sera "augmentée d'un tiers", ajoute le texte.

Ce plan inclut la torture, l'utilisation d'objets dangereux ou le crime "étant déterminé par la cupidité, par le plaisir de tuer ou de faire souffrir, pour l'excitation ou pour toute raison terrible ou futile".

Dans la formulation actuelle, la mort d'un animal était un facteur aggravant du crime de maltraitance.

Quiconque laisse un animal domestique est actuellement "puni d'une peine de prison pouvant aller jusqu'à six mois ou d'une amende allant jusqu'à 60 jours", mais si cela "entraîne un danger pour la vie de l'animal, la peine" est "augmentée d'un tiers. ».

La privation du droit de détenir des animaux domestiques passe également d'une période maximale de cinq à six ans.

La loi sur la protection des animaux prévoit désormais que «en cas de preuve de signes de pratiques de mauvais traitements contre les animaux de compagnie, les forces de sécurité, les services de police criminelle, la direction générale de l'alimentation et du vétérinaire et les municipalités doivent libérer les moyens de les collecter ou de les capturer ».

Dans ces cas, il peut être "demandé de rendre une ordonnance du tribunal" qui "garantit l'accès des forces de sécurité ou de la police criminelle aux lieux où se trouvent les animaux".

Ce texte, qui a été présenté par le groupe parlementaire PS, avait déjà recueilli un large consensus lors du vote qui a eu lieu cette semaine au sein de la commission, les différents partis soulignant qu'il s'agissait d'une avancée dans la défense et la protection des animaux.

Bien que PSD, PAN, PS aient retiré leurs initiatives en faveur du texte de remplacement, BE a insisté pour porter son projet en plénière, ayant été rejeté, avec les votes contre PCP, PEV, PS, PSD et CDS.

Le projet des bloqueurs a également servi de base au texte de remplacement approuvé aujourd'hui, mais comme il a été rejeté, les députés ont voté pour retirer cette référence dans le diplôme final.

FM // SF

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