Rui Maurício, 50 ans, né à Nazaré, juriste, est tête de liste du RIR – Reactir-Incluir-Reciclar, un parti qui croit à l’intervention de l’État dans les secteurs nucléaires de la santé, de l’éducation et de la justice, ainsi qu’à l’économie. un marché libre dans lequel l’initiative privée est fondamentale pour la croissance du pays. Il affirme que parmi les dix députés du cercle de Leiria, il y a de la place pour le parti.
Rui Maurício croit à l’élection d’un député du parti
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ToggleJORNAL DAS CALDAS – Quelle est la plus grande priorité pour le district de Leiria ?
Électrification et duplication de la ligne ferroviaire et investissement dans des solutions de mobilité intelligente.
JC – Quels sont les projets de quartier que vous défendrez à l’Assemblée de la République ?
Le nouvel hôpital de la zone centrale, l’investissement dans les campus universitaires du quartier, pour attirer les jeunes et les talents et encourager la spécialisation industrielle et commerciale.
Je défendrai notre circonscription de la meilleure façon possible, en tenant toujours compte de ce qui est le mieux pour le pays, contrairement à ce qui s’est passé ces dernières années. Malheureusement, les options choisies par les gouvernements successifs n’ont pas été les meilleures.
Nous sommes une liste de personnes qui s’efforcent chaque jour d’améliorer les conditions de vie de leurs familles et des communautés dans lesquelles nous opérons.
JC – Le ministre de la Santé a annoncé la construction du nouvel hôpital de Bombarral. Caldas se bat pour que l’unité reste sur le territoire de Caldense et même avec Óbidos, ils proposent un terrain. Que défendez-vous ?
La localisation de l’hôpital, comme la localisation de toute infrastructure stratégique au service de la population et de l’économie locale, doit faire l’objet d’une définition préalable et objective des critères de sa raison d’être. En ce sens, les facteurs démographiques, d’accessibilité et autres devraient être prédominants. Plus que des avis personnels, subjectifs et émotionnels, nous avons besoin de décisions basées sur des analyses techniques répondant aux critères définis.
JC – Pourquoi les électeurs devraient-ils voter pour votre liste et pas pour un autre concurrent ?
Le RIR est un parti jeune, différent et centriste qui souhaite que les citoyens ordinaires participent aux décisions politiques. Le RIR est un parti de candidats qui sont des gens comme nous tous. Nous ne sommes pas des professionnels de la politique. Cela devrait être la raison du choix du vote.
Nous sommes surtout mobilisés pour élire un député à l’Assemblée de la République. Parmi les petits partis, le plus grand estime que la participation civique passe par le vote. Pour nettoyer le Portugal, nous devons changer. Seul un parti comme le RIR assure ce changement, car il est composé de personnes libres, non engagées, mais engagées à faire les choses différemment.
JC – Quelle est la question qu’on ne vous pose jamais et aimeriez-vous qu’on la pose ? Et que répondriez-vous ?
« Pourquoi es-tu entré dans ça? »
Je répondrais : parce qu’après 50 ans de constat d’un nombre croissant de mécontents. Certains crient, protestent, font de la propagande et critiquent, radicalisent les chemins, croient en des solutions fictives de bonheur futur, et d’autres, dans une attitude amorphe et négligente, permettent l’organisation de minorités et de groupes et remettent entre les mains d’autres la direction de les vies que nous voulons pour nous-mêmes. Nos parents méritent que nous fassions davantage pour préserver la liberté qui a été si difficile à obtenir et que nous souhaitons (je souhaite) garantir à mes enfants.