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Covid-19: le Parlement approuve le renouvellement de l’état d’urgence aujourd’hui jusqu’au 31 mars

Le parlement débattra et votera aujourd’hui sur le renouvellement de l’état d’urgence jusqu’au 31 mars pour permettre des mesures d’endiguement du covid-19, dont l’approbation est garantie, avec le soutien du PS, du PSD, du CDS-PP et du PAN.

«La situation évoluant favorablement, du fait des mesures prises sous l’état d’urgence, mais les signes extérieurs encore complexes et imposant une prudence quant aux mesures à prendre dans un proche avenir, il est entendu qu’il y a des raisons de le maintenir pendant 15 jours supplémentaires, mêmes conditions que le dernier renouvellement », lit-on dans l’introduction du diplôme.

Le projet de décret présidentiel qui renouvelle l’état d’urgence affirme qu’un «plan par étapes de réouverture des écoles» doit être défini et prévoit désormais son articulation avec «dépistage, dépistage et vaccination».

En revanche, dans la règle qui restreint les droits d’émigrer ou de quitter le territoire national et de revenir, ainsi que la circulation internationale, un changement a été introduit pour inclure le << regroupement familial >> dans les << règles différenciées >> que le Gouvernement peut établir en cette question.

Il s’agit du 13e diplôme de l’état d’urgence que Marcelo Rebelo de Sousa soumet à l’autorisation du parlement dans le contexte actuel de la pandémie des 19 covidés.

La période actuelle de l’état d’urgence se termine à 23 h 59 le mardi 16 mars. Ce renouvellement prendra effet entre le 17 et le 31 mars.

Marcelo Rebelo de Sousa s’est entretenu avec le pays depuis le palais de Belém chaque fois qu’il décrète ce cadre juridique – sauf à l’époque où il était candidat à l’élection présidentielle du 24 janvier, au cours de laquelle il a été réélu.

Lorsqu’il s’est entretenu avec le pays il y a deux semaines, le président de la République a demandé «d’étudier et de préparer avec le temps» le futur manque de définition, afin de ne pas répéter les erreurs, et a conseillé que cette réouverture ne se fasse pas «en cavale». »Et que« ouvrir »doit être évité. Sans critères avant Pâques, de le fermer juste après, de l’ouvrir à nouveau après».

À l’époque, le Premier ministre, António Costa, a évoqué ce jeudi 11 mars la présentation du plan de déconfiguration du gouvernement.

Aux termes de la Constitution, il appartient au Président de la République de décréter l’état d’urgence, pour une durée maximale de quinze jours, sans préjudice d’éventuels renouvellements, mais pour cela il doit écouter le Gouvernement et avoir l’autorisation de le Parlement.

Les quatre précédents renouvellements de l’état d’urgence ont été autorisés par l’Assemblée de la République avec des votes en faveur du PS, du PSD, du CDS-PP et du PAN et de la députée non inscrite Cristina Rodrigues, l’abstention de BE et des votes contre le PCP , PEV, Chega, Liberal Initiative et la députée non enregistrée Joacine Katar Moreira.

Sous l’état d’urgence, le Gouvernement a imposé une obligation générale de collecte à domicile et la suspension d’une série d’activités depuis le 15 janvier.

Depuis le 22 janvier, les établissements d’enseignement ont été fermés, d’abord avec une pause scolaire de deux semaines, puis avec des cours à distance.

Au Portugal, plus de 16 mille patients sont décédés avec le covid-19 et à ce jour plus de 811 mille cas d’infection par le nouveau coronavirus responsable de cette maladie ont été signalés, selon la direction générale de la santé (DGS).

IEL // JPS

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