Selon le document, publié aujourd’hui dans Diário da República, le décret «procède à l’autorisation de rester dans les parcs, jardins, espaces verts, espaces de loisirs, bancs de jardin et autres, sans préjudice de la compétence des maires de la municipalité compétente. zone. ».
Si le nouvel état d’urgence n’entrera en vigueur que le mercredi 17, «en vue des mesures désormais déterminées à partir du lundi 15 mars, le règlement porte sur deux jours, 15 et 16 mars, toujours sous le précédent renouvellement du l’état d’urgence proclamé par le décret du Président de la République n ° 21 -A / 2021 du 25 février ».
Selon le décret, il incombe aux maires de «fermer tous les espaces publics fréquentés, à savoir les allées, trottoirs, trottoirs et plages», ainsi que de «signaler l’interdiction d’utiliser les bancs de jardin, les aires de jeux et les équipements publics pour le sport (fitness) ».
En janvier, un nouveau confinement général au Portugal continental a été décrété en raison de la pandémie de covid-19.
Parmi les différentes mesures restrictives adoptées, une interdiction d’accès aux espaces publics a été décidée.
Le diplôme approuvé à l’époque, et entre-temps renouvelé à plusieurs reprises, précisait que «par décision du maire de la mairie territorialement compétente, tous les espaces publics dans lesquels se trouve une agglomération de personnes, à savoir les passages pour piétons, les trottoirs, les trottoirs et les plages, doivent être fermées et des panneaux doivent être placés sur l’interdiction d’utiliser des bancs de jardin, des terrains de jeux et des équipements publics pour le sport ».
Vendredi, la municipalité d’Oeiras a annoncé que la promenade et les espaces publics extérieurs, tels que le parc urbain du Complexo Desportivo do Jamor et les jardins, à partir de cet endroit ont rouvert à 07h00 aujourd’hui.
Dans le communiqué rendu public vendredi, la municipalité a averti que cette décision pourrait «être annulée à tout moment», en cas de «grappes excessives» survenant dans ces localités et qui compromettraient l’endiguement de la pandémie de covid-19.
Le maire d’Oeiras, Isaltino Morais, a appelé au «sens de la responsabilité civique envers les citoyens» et au «respect scrupuleux des lignes directrices fixées par les autorités sanitaires».
Le Premier ministre, António Costa, a annoncé jeudi, lors d’une conférence de presse à l’issue du Conseil des ministres, un plan de déflation, qu’il a qualifié de «compte-gouttes», et qui prévoit la réouverture lundi des crèches , l’éducation préscolaire et les écoles primaires et loisirs (ATL) pour les mêmes âges, ainsi que la vente de guichet et l’ouverture d’établissements tels que coiffeurs, librairies et disquaires.
Le plan prévoit de nouvelles phases de réouverture les 5, 19 avril et 3 mai, mais António Costa a averti que les mesures de réouverture seraient révisées chaque fois que le Portugal dépassera les «120 nouveaux cas par jour pour 100 000 habitants en 14 jours» ou chaque fois que l’indice de transmissibilité (Rt) du virus SARS-CoV-2, qui donne lieu à covid-19, dépasse 1.
Les déplacements entre communes, au Portugal continental, pour la majorité de la population restent interdits ce week-end et la semaine suivante et pascale (entre le 26 mars et le 5 avril), et le devoir de collecte à domicile reste en vigueur jusqu’à Pâques.
Le Portugal a enregistré aujourd’hui 19 décès liés au covid-19 et 564 nouveaux cas d’infection par le nouveau coronavirus, selon la direction générale de la santé (DGS).
Le bulletin de la DGS révèle que le nombre de patients hospitalisés est passé de 1000 à 980 patients (66 de moins que jeudi), le chiffre le plus bas depuis le 14 octobre, jour de l’hospitalisation de 957 personnes.
En réanimation, le Portugal compte aujourd’hui 253 patients (moins 13 par rapport à jeudi), le chiffre le plus bas depuis le 27 octobre, jour où il y avait également 253 personnes dans ces unités.
Au Portugal, 16 669 personnes sont décédées des 813 716 cas confirmés d’infection, selon le dernier bulletin de la DGS.
La pandémie de covid-19 a causé au moins 2 640 635 décès dans le monde, résultant de plus de 119 millions de cas d’infection, selon un rapport de l’agence française AFP.
La maladie est transmise par un nouveau coronavirus détecté fin 2019 à Wuhan, une ville du centre de la Chine.
JRS (AFE / FAC / JF) // HB