Sónia Azevedo, l’agent de santé de l’hôpital du cancer de Porto, apparemment en parfaite santé, retrouvée morte au lit deux jours après avoir reçu sa première dose du vaccin Pfizer le jour de l’An, a subi une crise cardiaque.
C’est le résultat de l’autopsie, expliquée plus d’un mois depuis le décès de la mère de deux enfants (cliquez ici).
Une autopsie préliminaire a insisté au début du mois de janvier sur le fait que le décès «n’avait établi aucune relation avec le vaccin Covid-19» (cliquez ici).
Selon les rapports d’aujourd’hui, la mort subite de Mme Azevedo «a provoqué des doutes et des demandes d’explications parmi la famille et les amis car aucun d’entre eux n’était au courant de problèmes de santé» subis par Mme Azevedo.
Quelques semaines après sa mort, les «résultats définitifs» de l’autopsie ont maintenant été révélés, concluant que la mort a été causée par un «infarctus aigu du myocarde», «communément appelé crise cardiaque», écrit Correio da Manhã.
La famille et les amis de Mme Azevedo sont décrits comme perplexes quant au fait qu’il ait fallu autant de temps pour révéler les résultats de l’autopsie, ajoute le journal.
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