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Lundi, l'ancien ministre des Finances entre en fonction comme gouverneur de la Banque du Portugal

Mário Centeno a «fait». Malgré les hurlements sur les «conflits d’intérêts», la tentative d’embargo légal (cliquez ici), l’ancien ministre socialiste des Finances aura ses pieds sous le bureau du gouverneur de la Banque du Portugal à partir de lundi matin.

Comme ces critiques estiment qu’il «aura un programme» en ce qui concerne certains des nombreux dossiers qu’il a traités au gouvernement.

Mais les partisans – et Centeno lui-même – disent qu'il sera entièrement impartial.

En effet, ses «champions» croient qu’il est parfait pour le travail.

C'est l'homme qui n'a officiellement quitté son poste de président de l'Eurogroupe qu'il y a trois jours.

Cela a été moins une porte tournante, plus une catapulte.

Il a changé d'emploi si vite que même le projet de loi approuvé – pour essayer de contrecarrer sa nomination – le jour où il a quitté son poste au gouvernement n'a pas été en mesure de le suivre.

Mais, comme le souligne Lusa, Mário Centeno ne peut pas esquiver le fait que sa nomination a été la seule nomination au poste de gouverneur de banque centrale jusqu'à présent dans l'histoire portugaise à avoir reçu des «votes négatifs au parlement» de tous les partis politiques autres que le sien.

natasha.donn@algarveresident.com

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