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Les exportations de vins portugais montent en flèche de 3,2% à 846 M €

Les exportations de vins portugais ne semblent pas avoir été affectées par la pandémie, ayant augmenté de 26,9% au Royaume-Uni, 26,5% au Brésil et 13,5% aux États-Unis en termes de volume, selon les données du National Statistics Institute (INE ).

Les exportations de vins portugais ont augmenté de 5,3% en volume l’année dernière et de 3,2% en valeur, tirées par les ventes au Brésil, selon les données de l’INE, citées par le gouvernement.

«Les exportations de vins portugais ont connu une performance très positive l’année dernière, enregistrant une augmentation notable par rapport à 2019. Ainsi, et selon les données de l’Institut national de la statistique (INE), pour 2020, il y a eu une augmentation non seulement en volume, 5,3 %, mais aussi en valeur, 3,2%, avec un résultat de 846 millions d’euros, 26 millions d’euros de plus que l’année précédente », a indiqué le ministère de l’Agriculture dans un communiqué.

Les marchés qui ont le plus contribué à ces résultats sont le Brésil, la France, les États-Unis, le Royaume-Uni et le Canada.

De janvier à décembre, les exportations vers le Brésil ont augmenté d’environ 26,5% en volume et 23,5% en valeur, totalisant 68 millions d’euros. Celles destinées aux États-Unis ont augmenté de 13,5% en volume et de 3,1% en valeur, totalisant 92 millions d’euros.

Les exportations de vins portugais vers le Royaume-Uni ont augmenté de 26,9% en volume et de 16,2% en valeur à 90 millions d’euros.

Au Canada, il y a eu une augmentation de 6% en volume et de 4,9% en valeur à environ 50 millions d’euros. Le meilleur prix moyen a également été enregistré au Canada – environ 3,64 euros le litre.

Les exportations de vins portugais vers la France se sont élevées à 110,5 millions d’euros, suivies de l’Allemagne (47,5 millions d’euros) et des Pays-Bas (47 millions d’euros). En revanche, en France, on note une baisse de 2% en volume.

Le ministre de l’Agriculture a défendu que ces résultats reflètent «la bonne performance du secteur, sa capacité de résilience et d’adaptation, mais aussi les mesures que, à tout moment, le gouvernement a présentées en 2020» pour minimiser l’impact de la pandémie Covid-19 .

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