Cette demande, à laquelle l’agence Lusa a eu accès, n’est tout simplement pas souscrite par le banc Chega et, selon les sept partis proposants, elle devrait travailler dans le cadre de la commission des affaires constitutionnelles, des droits, des libertés et des garanties.
Après la publication du rapport final «Donner une voix au silence» de la Commission indépendante pour l’étude des abus sexuels contre les enfants dans l’Église catholique, les groupes parlementaires du PS, du PSD, de l’Iniciativa Liberal, du Bloco de Esquerda, du PCP et du Les députés du PAN et du Livre comprennent que « la gravité des témoignages présentés et l’ampleur des exactions et des souffrances des victimes rendent urgente une profonde réflexion sur ce qu’il faut faire pour, dans la mesure du possible, réparer le préjudice subi par les victimes et empêcher que ce crime grave ne se reproduise à l’avenir ».
« Le rapport précité, en raison de sa longueur, de la pluralité des approches adoptées et de la transversalité des recommandations laissées (qui appellent des changements législatifs et la nécessité de renforcer les politiques publiques à différents niveaux ou sous-systèmes sociaux) mérite une analyse plus détaillée, en particulier dans les aspects considérés comme essentiels dans le cadre d’une éventuelle intervention législative à déclencher et/ou traiter au parlement », se défend-on dans le texte de cette requête.
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En ce sens, il est considéré qu’une réflexion « centrée sur la mise en balance des besoins des victimes et de leurs droits, bénéficierait de la systématisation des travaux à travers la constitution d’une structure relevant de la Commission des affaires constitutionnelles, des droits, libertés et garanties ». ”.
Outre les organismes d’audition mentionnés dans le rapport final de la commission indépendante, les auteurs de ce document soutiennent également qu’il est important de « recueillir des éléments provenant des domaines gouvernementaux concernés, afin d’enrichir les travaux préparatoires à de futures interventions législatives ou de contrôle parlementaire ».
Ce groupe de travail devrait, entre autres missions, mener des auditions « qui paraissent pertinentes » dans le cadre des données rendues publiques par le rapport de la Commission indépendante d’étude des abus sexuels à l’égard des enfants dans l’Église catholique, ainsi que analyser les « recommandations d’évolution des mesures législatives prévues dans ledit rapport, notamment en recourant à l’étude du droit comparé pertinent et du droit de l’Union européenne ».
PS, PSD, Iniciativa Liberal, Bloco de Esquerda, PCP, PAN et Livre soutiennent également que « le travail de preuve spécifique de toute initiative législative susceptible d’être approuvée en général en la matière au cours de leur travail soit assumé ».
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