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Vision | Environ 3000 infractions de boisement avec des espèces forestières entre 2013 et 2020

Passibles d’une amende comprise entre 1 000 euros et 3 740,98 euros, la plupart des quelque 3 000 infractions administratives concernent «la réalisation d’actions de boisement ou de boisement avec des espèces forestières, sans autorisation préalable», sur un total de 1 326 infractions (45%), avancées ICNF, en réponse à l’agence Lusa.

Dans le cadre des actions d’inspection menées entre octobre 2013 et juin 2020, 1 097 infractions ont également été enregistrées (37%) pour «réalisation d’actions de boisement et de reboisement non communiquées antérieurement […] ou, après avoir été communiquée dans les conditions légales, lorsqu’elle a été exécutée après la date limite »et 472 infractions (16%) pour« avoir mené des actions de boisement et de boisement avec toute espèce forestière en violation de la décision d’autorisation […], ainsi que les projets préalablement autorisés ou la fiche de projet simplifiée », a-t-il ajouté.

Parmi les infractions figurent également 75 infractions (3%) pour «non-respect du programme de recouvrement approuvé» et «absence de présentation du programme de recouvrement dans le délai spécifié», les sept autres cas administratifs pour «non-respect du exécution des travaux avec projet autorisé ».

«Sur les 2 977 infractions administratives, 1 637 ont été jugées, dont 889 dans le Centre, 358 dans le Nord, 226 à Lisbonne et Vale do Tejo et 164 dans l’Alentejo», a indiqué l’ICNF, sans révéler le montant total des amendes .

En vigueur depuis octobre 2013, le RJAAR est le régime juridique auquel sont soumises les actions de boisement et de reboisement avec utilisation d’espèces forestières sur le territoire continental.

L’entreprise s’est également interrogée sur la modification des règles générales applicables à la production et à la commercialisation de matériel forestier de reproduction (RFM) utilisé à des fins forestières, applicables depuis janvier 2019.

Cet amendement prévoit qu’une autorisation préalable est requise pour l’achat de certaines espèces, y compris l’eucalyptus, et dans laquelle les propriétaires de plantations illégales peuvent être condamnés à une amende pouvant aller jusqu’à 44 891,81 euros.

En réponse, l’ICNF a indiqué que la loi prévoit que le traitement des procédures et formalités prévues dans le diplôme est effectué par ordinateur, via le Système d’information sur les matériels forestiers de reproduction (SiMFR), disponible sur le site internet de l’Institut et accessible via le guichet électronique. seul.

«Etant donné que ledit système d’information est dans la phase finale de mise en œuvre, la vérification du respect desdites exigences est effectuée par l’ICNF, à travers la conduite de visites de contrôle documentaire, sans trace de violations de ces dispositions à ce jour. « , il ajouta.

Selon le décret-loi n ° 13/2019, la vente à l’utilisateur final de plantes pour le boisement ou le boisement est interdite sans présentation d’un document prouvant l’autorisation ou communication préalable selon les termes du RJAAR et «le fournisseur doit conserver la preuve de autorisation ou communication préalable, jusqu’à la mise en œuvre du SiMFR ».

Pour permettre aux fournisseurs de MFR d’appliquer les exigences légales, l’ICNF publie une liste des projets autorisés toutes les deux semaines sur son site Internet ) ou validée dans le cadre de RJAAR, permettant ainsi aux fournisseurs de MFR de valider les preuves soumises par l’utilisateur final.

Dans le cadre de la protection des forêts et de la mise en valeur territoriale, les diplômes qui modifient le RJAAR et les règles de production et de commercialisation des MFR, ainsi que le régime des plans forestiers, sont entrés en vigueur le 22 janvier 2019, pour «compléter les mesures en force dans le domaine de la gestion forestière ».

En ce qui concerne les amendements à la RJAAR, le gouvernement a indiqué que, «compte tenu de l’expérience existante avec l’application de ce régime juridique, il est nécessaire de renforcer son caractère dissuasif en ce qui concerne la poursuite d’actions illégales de boisement ou de reboisement, clarifiant également le responsabilités de l’agent d’exécution de l’action, quel que soit son titre ».

Concernant le boisement et le boisement avec des espèces du genre ‘eucalyptus’, le diplôme détermine que l’ICNF doit faire une gestion nationale de la superficie globale de ces espèces forestières, «afin de se rapprocher progressivement des valeurs fixées dans le version de la stratégie nationale pour les forêts ».

SSM // MCL

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