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Le chargement et le déchargement des marchandises avec un temps d’attente maximal prend effet aujourd’hui

Approuvé par le Conseil des ministres le 17 juin et publié le 13 juillet, le diplôme qui modifie le décret-loi qui fixe le régime juridique du contrat national de transport routier de marchandises, y compris les délais d’attente, est né du « rapport rendu au gouvernement par le comité de suivi qui a évalué le modèle d’autorégulation convenu et conclu que les délais d’attente restent excessifs ».

Le délai d’attente maximum de deux heures ne s’applique pas aux contrats en vigueur qui prévoient un sens différent en la matière, mais pour d’autres le régime crée la responsabilité du délai d’attente, en cas de non-respect par l’expéditeur, l’expéditeur, du destinataire ou du transporteur.

Néanmoins, le régime détermine qu’il est de la responsabilité de l’expéditeur ou du destinataire, selon qu’il s’agit de charger ou de décharger, de s’assurer que les procédures administratives et douanières « sont remplies à l’avance et en temps utile afin de respecter les deux heures d’attente. période ».

Le transport de produits périssables est exclu de ces délais, du fait de sa nature, permettant de programmer le nouveau régime en moins de 24 heures.

« Lorsque le délai d’attente de deux heures est dépassé pour des raisons tenant à l’expéditeur ou au destinataire, le transporteur a droit à une indemnité due par le responsable du non-respect, pour l’immobilisation du véhicule qui ne comprend pas les deux heures du temps d’attente, pour chaque heure ou fraction ultérieure, dans la limite de 10 heures », indique la dépêche.

Si le véhicule est immobilisé plus de 10 heures pour une raison non imputable au transporteur, le transporteur a également droit à une indemnité, aux frais du responsable du non-respect, pour chaque heure ou fraction, majorée de 25 % jusqu’à la fin de l’arrêt.

Si le retard dans la livraison de la cargaison par le transporteur dépasse 10 heures, l’expéditeur, l’expéditeur ou le destinataire, selon le cas, ont droit à une indemnité, aux frais du transporteur, selon les valeurs en le tableau, pour chaque heure ou fraction, majoré de 25 % jusqu’à la fin de la livraison, à l’exception des deux heures d’attente.

Le régime prévoit également une exception pour que les délais d’attente maximaux ne s’appliquent pas aux installations de fabrication, lorsque l’origine et la destination des marchandises sont des terminaux portuaires, et aux terminaux de vrac solide et polyvalents.

« Le droit de réclamer une indemnité expire dans un délai d’un an à compter de la date de l’opération de chargement ou de déchargement qui y donne lieu », indique également le diplôme.

Compte tenu de la nécessité de préserver les règles relatives à la sécurité au travail, si le transporteur assume une telle responsabilité, le nouveau régime lui impose de veiller à ce que les travailleurs chargés des opérations en question – autres que les conducteurs – reçoivent une formation professionnelle adéquate.

Le décret-loi consacre également des règles en matière de chargement et de déchargement, de temps d’attente, de contrôle et de sanctions, dont 40 % sont attribués à l’Institut de la mobilité et des transports (IMT), ou à l’Autorité des conditions de travail (ACT). , selon l’entité qui a infligé une amende aux infractions.

En 2019, un accord-cadre sur le chargement et le déchargement a été signé dans lequel les entreprises de transport, de logistique et de distribution ont supposé que ces tâches n’étaient pas de la responsabilité des chauffeurs, à quelques exceptions près.

LT (VP/ALYN) // EA

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