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Vision | OE2022 : La Sécurité Sociale enregistre un excédent de 1.848,8 ME en juillet

Dans un communiqué rendu public sur les données de la Direction générale du budget (DGO), le ministère du Travail, de la Solidarité et de la Sécurité sociale souligne l’impact positif de l’emploi sur le solde de la Sécurité sociale, indiquant que les recettes ont augmenté de 6,5% sur un an. année, à 19 330 millions d’euros en juillet.

« L’augmentation de la population en emploi a eu un impact sur la hausse des recettes de cotisations et cotisations, qui ont totalisé 2.133,3 millions d’euros en juillet, soit une hausse de 12,5% (+1.373,8 millions d’euros) par rapport à la même période l’an dernier. 2021 », souligne le cabinet de la ministre Ana Mendes Godinho.

Les dépenses ont baissé de 6% par rapport à juillet 2021, à 17.481,8 millions d’euros, « portées par la baisse des dépenses d’allocations chômage d’un montant de 237,3 millions d’euros, qui représente une baisse de 23,4% par rapport à la période homologue », peut être lu dans la note du ministère.

Le bureau explique également que la réduction des dépenses était également liée à «l’opération comptable liée à la mise à jour du bénéfice social pour l’inclusion (PSI) et de son complément, d’un montant de 70 millions d’euros, soit 20,6% de moins par rapport à la même période». de 2021 ».

« La baisse des dépenses a été possible, même avec l’augmentation du montant versé avec les prestations sociales », notamment avec le soutien extraordinaire au panier alimentaire des personnes les plus vulnérables, à partir d’avril et dont le montant cumulé en juillet s’élevait à 103,8 millions d’euros. .euros.

Les dépenses de pensions et compléments augmentent de 3,2 % sur un an, à 10 829,5 millions d’euros, tandis que les dépenses d’allocations et compléments maladie augmentent de 8,7 % à 489,6 millions d’euros.

Jusqu’en juillet, la mise en œuvre des mesures arrêtées dans le cadre du covid-19 sous la responsabilité du sous-secteur de la Sécurité sociale s’est élevée à 576,8 millions d’euros, entraînant une réduction des dépenses de 1.019,6 millions d’euros par rapport à la même période l’an dernier, selon le ministère. .

Côté recettes, l’office estime, sur la base des informations disponibles jusqu’à fin juillet, une perte de revenu contributif liée à l’exonération du paiement de la Taxe sociale unique (TSU) à 6,7 millions d’euros.

Du côté des dépenses, l’isolement prophylactique a été la mesure ayant le plus grand impact (234,1 millions d’euros), suivi des dépenses relatives à l’incitation extraordinaire à la normalisation de l’activité des entreprises (129 millions d’euros), au soutien extraordinaire aux revenus des travailleurs (75,9 millions d’euros) et les indemnités de maladie (64,3 millions d’euros).

« Le soutien extraordinaire à la reprise progressive d’activité, la subvention d’aide aux petits-enfants et aux enfants et le ‘licencier’ simplifié ont également eu un impact significatif qui s’est élevé respectivement à 39,9 millions d’euros, 15,0 millions d’euros et 9,3 millions d’euros », lit la note.

Le bureau évoque également le versement d’une aide exceptionnelle à la famille, qui s’élève à 8,1 millions d’euros.

DF // EA

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