« Afin de débattre et de proposer des mesures qui répondent au grave problème qui touche des millions de personnes avec la hausse des taux d’intérêt sur les prêts hypothécaires, le PCP a programmé la programmation potestative de son projet de loi sur le régime de protection extraordinaire pour le 15 février prochain. de logement propre compte tenu de l’augmentation des charges avec crédit logement », a annoncé la leader parlementaire du PCP, Paula Santos, lors de la séance de clôture des journées parlementaires du parti, qui s’est déroulée entre lundi et aujourd’hui dans ce district.
Paula Santos a souligné que la hausse des taux d’intérêt et des prix des biens et services essentiels crée un « scénario de grande difficulté et très compliqué pour de très nombreuses familles ».
Dans ce contexte, le leader parlementaire a souligné que le diplôme PCP qui sera débattu le 15 février vise à « empêcher les familles de tomber en défaut » et vise à « protéger le logement, pour que personne ne tombe en défaut ».
Le parti propose que « les augmentations d’acomptes via les taux d’intérêt, avant d’affecter ces augmentations d’acomptes, se concentrent sur l’ensemble des frais et commissions qui sont facturés aux familles elles-mêmes ».
En revanche, la PCP avance que les contrats de prêt immobilier peuvent être renégociés avec une limite de taux d’effort de 35%, pour permettre aux familles de pouvoir « faire face aux paiements et mensualités via leur prêt immobilier ».
Le parti propose également que, dans le cadre d’une renégociation médiatisée par l’Etat, un mécanisme puisse être activé par lequel, pendant une durée déterminée, la banque créancière transforme le prêt immobilier en bail, « payant également une mensualité ».
Réagissant aux annonces sur le logement faites par le Premier ministre dans un entretien à la RTP lundi, Paula Santos a estimé que les mesures annoncées étaient « très floues » et le PCP entend « attendre de voir les propositions concrètes ».
Cependant, concernant la mesure annoncée par le chef de l’exécutif concernant une « forte incitation à la construction de logements privés », le leader parlementaire du PCP a estimé que « c’est ce que nous avons eu » et « ne résout pas le problème de l’accès au logement ».
Selon le leader parlementaire du PCP, il faut que « l’Etat et le Gouvernement assument leur responsabilité constitutionnelle de garantir le droit au logement », soit par « l’agrandissement du logement public », soit « par la requalification ».
« Nous avons mis sur la table la nécessité de mobiliser des actifs publics utilisables à des fins de logement et pouvant être loués, mettant ces logements à la disposition des familles », a-t-il souligné.
Interrogée pour savoir si le PCP avait programmé ce débat le 15 février en réaction au fait que le Premier ministre avait convoqué, dans l’interview de lundi, un Conseil des ministres sur le logement pour le 16 février, Paula Santos a écarté cette idée.
«C’est le gouvernement qui l’a programmé plus tard. (…) UN [nossa] la date était déjà fixée et est fixée depuis plus de quinze jours [de dias]nous sommes donc ici aujourd’hui pour annoncer son thème et son débat », a-t-il déclaré.
Lors de cette séance de clôture, Paula Santos a également annoncé que son parti programmera une discussion au parlement sur son projet de loi qui entend accorder « le caractère d’un titre exécutif aux décisions condamnatoires de l’Autorité des conditions de travail (ACT) en matière de travail précaire ». ”.
« Le PCP continuera à lutter pour le remplacement et l’amélioration des droits des travailleurs, en commençant par la création des conditions juridiques pour une plus grande efficacité de l’ACT », a-t-il garanti.
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