Lors d’un dernier vote global, les députés ont rendu viable le texte de remplacement présenté par la commission parlementaire de l’Économie, de l’Innovation, des Travaux publics et du Logement concernant le régime de stationnement et de stationnement des camping-cars inclus dans le code de la route, à savoir les articles 48 et 50-LE.
Le diplôme a été approuvé avec les votes contre du PCP et PEV, les abstentions de BE, PAN, IL et CH et les votes en faveur des autres bancs parlementaires.
En séance plénière, trois projets de loi PCP, PEV et BE ont été votés, de manière générale, pour changer le régime de stationnement et de stationnement des camping-cars, qui ont tous été rejetés, avec les votes contre du PS, PSD, CDS-PP et PAN.
Dans la discussion sur le sujet, le PSD a également présenté un projet de loi, mais, suite au processus de vote indiciaire en commission, il a décidé de retirer son initiative en faveur du texte de remplacement.
Selon le diplôme agréé, en relation avec l’article 50-A, « la nuitée et le stationnement des camping-cars ou assimilés sont interdits dans les zones du réseau Natura 2000, les zones protégées et les zones couvertes par les plans d’aménagement du littoral, sauf dans les lieux expressément autorisé à cet effet ».
« Sur le reste du territoire et en l’absence de réglementation communale pour l’activité, les camping-cars agréés par l’IMT – Institut de la mobilité et des transports pour une durée maximale de 48 heures dans la même commune, sauf dans les lieux expressément autorisés à cet effet, sont autorisées, pour lesquelles il n’y a pas de limite de nuitées », lit-on dans le texte présenté par la commission.
L’initiative maintient la distinction du montant de l’amende pour ceux qui enfreignent les règles d’interdiction des nuitées et du stationnement des camping-cars ou assimilés en dehors des emplacements expressément autorisés à cet effet, qui « est sanctionné d’une amende de 60 à 300 euros », sauf pour traiter les zones du réseau Natura 2000, les zones protégées et les zones couvertes par les plans d’aménagement du littoral, auquel cas « l’amende est de 120 à 600 euros ».
Dans ce cadre, « le Gouvernement peut-il favoriser la régularisation des cartes de stationnement et des nuitées […] sous réserve d’une inscription quotidienne sur une plateforme électronique gratuite qui validera la géolocalisation et conservera cette inscription pendant une durée maximale de 60 jours », dans laquelle « le non-respect du précepte prévu aux présentes entraînera une majoration de 50 % de la pénalité prévue pour ».
Le diplôme précise également qu’après notification des infractions, le contrevenant peut procéder immédiatement au paiement volontaire de l’amende, situation qui « correspond au paiement de l’amende pour le minimum ».
En ce qui concerne l’article 48 sur l’arrêt et le stationnement, « le stationnement des camping-cars et assimilés est interdit dans les zones du réseau Natura 2000, les zones de paysage protégé et les zones couvertes par les plans de gestion du territoire côtier, en dehors des aires de stationnement autorisées pour les véhicules. » et quiconque enfreint cette règle « est sanctionné d’une amende de 60 à 300 euros ».
« Est considéré comme stationnement l’immobilisation d’un véhicule, avec ou sans occupants, qui ne constitue pas un arrêt et n’est pas motivée par des circonstances de circulation », selon l’initiative, qui précise également que « le stationnement des camping-cars ou assimilés, dans ces conditions que les autres véhicules doivent respecter cumulativement les dispositions du code municipal de stationnement et de circulation et les interdictions suivantes : a) La pratique du camping et de toutes autres activités qui s’y rattachent sur la route et dans l’espace public ; b) Élimination des déchets organiques et des eaux en dehors des systèmes d’élimination finale prévus par la législation spécifique applicable ; c) Occupation de la route et de l’espace public au-dessus du périmètre du camping-car ».
Les modifications législatives doivent entrer en vigueur « le jour suivant leur publication » au Diário da República, conformément au diplôme approuvé.
En vigueur depuis janvier, le régime de stationnement et de stationnement des camping-cars inscrit dans le code de la route a été remis en cause par les représentants des camping-caristes, notamment par l’interdiction des nuitées pour les camping-cars en dehors des emplacements autorisés.
SSM // MLS