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La date de mise à disposition des formulaires IRS respecte le délai fixé par la loi – AT

Cette compréhension est contenue dans une lettre diffusée par le bureau du directeur général adjoint de l’IRS et des relations internationales, maintenant publiée, dans laquelle, outre le problème lié à la disponibilité des formulaires et au délai de livraison, les principaux changements au modèle 3 qui devrait cette année être utilisé pour déclarer l’IRS, et les instructions de remplissage respectives.

« Considérant que la mise à disposition, sur le Portail Finances, du nouveau formulaire de déclaration Modèle 3 au format XML, à la mi-février de cette année, ainsi que du formulaire électronique de la même déclaration – interface graphique, au 1er mars, correspond à respect de l’obligation prévue à l’alinéa o) du paragraphe 3 de l’article 59 de la loi générale sur les impôts (LGT), le délai de dépôt de la déclaration modèle 3 de l’année 2021 (…) expirera le 30 juin, étant considéré car les déclarations délivrées après cette date sont périmées », indique la lettre diffusée.

La loi générale sur les impôts oblige la « mise à disposition des formulaires numériques sur le portail des finances, dans un format permettant leur remplissage et leur soumission […] au moins 120 jours avant la date limite pour se conformer à l’obligation de déclaration ».

Les années précédentes, des doutes ont été émis, notamment par l’Ordre des experts-comptables (OCC), sur le non-respect des 120 jours prévus par la loi et, l’an dernier, par lettre circulaire, l’Administration fiscale et douanière (AT) est venu considérer que les contribuables qui ont déposé la déclaration de revenus entre le 1er et le 26 juillet et qui ont été verbalisés pour ce retard pourraient bénéficier d’une dispense d’amende, et doivent, à cet effet, présenter une défense dans la procédure d’infraction administrative.

Le document avec des instructions sur la déclaration de l’IRS que les contribuables doivent soumettre avant le 30 juin 2022 rappelle également que, par arrêté du secrétaire d’État aux affaires fiscales, la possibilité reste pour les contribuables de refuser la valeur des déductions à la collecte avec l’éducation , frais de santé et de logement calculés par l’AT sur la base des factures qui lui sont communiquées.

Dans cette situation, et comme cela s’est produit les années précédentes, les contribuables doivent indiquer le montant qu’ils considèrent comme correct — sur la base des factures pour ce type de dépenses où apparaît le NIF des membres du ménage.

Il est rappelé que cette possibilité était la solution trouvée, après la réforme de l’IRS en 2015, pour contourner le fait que les factures pouvaient ne pas être communiquées au Portail Finances ou ne pas être transmises au bon prélèvement.

Depuis lors, ce régime transitoire a été renouvelé chaque année via le budget de l’État. Dans la proposition d’OE2022, qui a été rejetée, il était proposé que l’écart par rapport aux valeurs calculées par l’AT soit inscrit dans la loi, et n’ait plus de durée annuelle.

Les travailleurs indépendants peuvent également refuser les montants des dépenses de loyers immobiliers, d’électricité, d’eau, de transport ou de consommation courante, entre autres, imputables à l’activité.

LT // CSJ

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