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Commission électorale rendue présidentielle sur l’ongle: un avocat et 11 employés en une année de pandémie et six visites aux urnes

Sous les critiques de maires de différentes couleurs politiques, qui l’accusaient de s’être mal préparée à se rendre aux urnes au milieu d’une pandémie et, principalement, du vote anticipé pour la présidentielle des personnes déplacées et infectées par Covid-19, l’élection nationale La Commission (CNE) est maintenant parvenue à garantir qu’elle a fait beaucoup avec les maigres ressources. Et il ajoute: au cours de la dernière année de la pandémie, avec plusieurs semaines de confinement entre les deux, cette entité rappelle qu’elle a réussi à mener plusieurs actes électoraux, y compris les Régionaux des Açores, en 2020.

La dénonciation des conditions imposées à cet organe, qui, bien qu’indépendant, travaille avec l’Assemblée de la République (AR) et est financé par le ministère de l’Intérieur, est inscrite au bilan des dernières présidentielles, remporté par Marcelo Rebelo de Sousa.

Le document fait référence au fait qu’au cours des 12 derniers mois, des élections ont eu lieu pour le président de la République, celles de l’Assemblée législative régionale des Açores, par intérim dans trois communes et même un référendum municipal. «Ces processus électoraux et référendaires se sont déroulés dans des circonstances plus difficiles qu’à l’accoutumée, rendant leur gestion plus complexe et exigeante, à savoir: l’existence d’un seul juriste en fonction au cabinet pendant la majeure partie de l’année 2020», fait-il allusion dans le texte , accessible par VISÃO

Avec un seul avocat, « il y avait un élément unique dans le noyau de la gestion et de la comptabilité », ceci alors que « des changements législatifs se produisaient en matière électorale, avec l’adoption de procédures sans précédent, notamment l’acte de vote ». Par ailleurs, le CNE rappelle que ce scénario s’est produit dans un «contexte de pandémie, qui a provoqué de multiples demandes».

Bien que dans le cas d’un seul juriste, la situation était, déjà après la présidentielle, «renforcée par le début des fonctions de deux juristes supplémentaires».

Même ainsi, l’ensemble de la main-d’œuvre ne répond pas aux besoins. «Comme on le sait, la Commission dispose d’une structure de ressources humaines manifestement réduite (actuellement 12 travailleurs) pour les besoins et les exigences qu’exigent les actes électoraux et référendaires, en particulier lorsqu’il y a une croissance constante des demandes d’intervention de la Commission», déclare l’institution , dirigé par le juge conseiller Soreto de Barros.

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